Les flux de nutriments des trois grands fleuves Amazone, Orénoque et Congo, suivis par satellite et par des mesures de terrain, n’auraient pourtant pas véritablement augmenté sur les 15 dernières années. Si la déforestation et la pollution sont une réalité très préoccupante, il apparait que des changements hydrologiques ne sont pas directement responsables de la prolifération des sargasses. Des études doivent continuer pour mieux comprendre les sources de nutriments qui favorisent le développement du phytoplancton et des sargasses dans la région tropicale.-