L’Université de Montpellier à la première place du classement thématique de Shanghai dans la catégorie écologie
Ce classement se fonde sur cinq critères: le nombre d publications signées par un établissement, le nombre d’enseignants ayant reçu une récompense académique, le nombre d publications parues dans les meilleures revues scientifiques, le pourcentage de publications consignées à l’international et l’impact de secs publications. Ce type de critères permettront ils aux chercheurs et enseignants d’échapper aux seules contraintes fixées par le contrat financier public/privé? Espérons le . Relevons sans mauvais esprit que le succès de montpellier est aussi du à la fusion en 2015 de Montpellier 1 et 2 ce qui a forcément augmenté le volume de publications. La liaison des institutions (CNRS, CIRAD, IRD, CHU…) est également une cause de progrès puisqu’elle entraine une augmentation d budget de 500M d’euros te la présence de 7 chercheurs internationaux nouveaux. Montpellier travaille beaucoup sur la biodiversité source de résilience, sur la disparition des abeilles, la culture du riz sans pesticides……( DMF)
Communiqué de presse: Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation se félicite de la première place décrochée par l’Université de Montpellier au classement thématique de Shanghai, pour sa recherche sur l’écologie.
Le palmarès 2018 du classement de Shanghai, dont la version complète sera rendue publique en août, classe plus de 4 000 universités et établissements selon 52 disciplines académiques. Celles-ci couvrent 5 grands domaines : Sciences de la matière/Mathématique/Sciences de la Terre, Ingénierie, Sciences de la vie, Sciences médicales et Sciences sociales.
Cette année, la première place mondiale de recherche sur l’écologie a été attribuée à l’Université de Montpellier. Frédérique Vidal se réjouit de ce résultat remarquable qui témoigne de l’excellence de la recherche française, et particulièrement en matière d’écologie et de préservation du vivant. Cette reconnaissance internationale témoigne de la solidité de la position des universités françaises, qui ont su s’affirmer face à une forte concurrence internationale.
Les universités françaises sont également bien représentées au classement en Mathématique : 16 sont classées parmi les 100 premières mondiales dans cette discipline, dont l’Université Paris-Sud (2e) et Sorbonne-Université (9e) ; mais aussi en physique, avec 11 établissements au sein du top 100. L’université Grenoble-Alpes apparaît dans 35 disciplines, dont 11 fois parmi les 50 premiers.